Les articles liés au cannabis peuvent désormais être vendus dans les magasins agréés
les magasins de vente au détail de cannabis privés autorisés peuvent désormais vendre des articles liés au cannabis tels que des vêtements et des livres.
Par Tre Lopushinsky 26 novembre 2021 | 14h19
Shelby Irlande / Unsplash
La province a annoncé vendredi que les magasins de vente au détail de cannabis privés autorisés peuvent désormais vendre des articles liés au cannabis tels que des vêtements et des livres.
Le ministère de la Sécurité publique affirme que cela offre aux clients plus d'options et stocke des sources de revenus supplémentaires.
« L'élargissement de la gamme d'articles disponibles auprès de titulaires de licence privés fournira un soutien supplémentaire à un secteur du cannabis légal et prospère en Colombie-Britannique », a déclaré Mike Farnworth, ministre de la Sécurité publique et solliciteur général.
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"Dans le même temps, d'importantes restrictions resteront en place pour aider à prévenir les activités dangereuses et garantir que nous ne promouvons ni ne soutenons la consommation de cannabis par des mineurs."
Avant ce changement, les magasins ne pouvaient vendre que du cannabis, des accessoires de cannabis tels que des papiers à rouler et des pipes, des sacs à provisions et des cartes d'achat prépayées.
Le ministère affirme que les magasins devront respecter des conditions de santé et de sécurité spécifiques et ne peuvent toujours pas vendre d'articles sans rapport, tels que des collations et des boissons ne contenant pas de cannabis.
« Beaucoup de nos clients s'intéressent beaucoup aux articles périphériques liés à la culture du cannabis, comme les vêtements », a déclaré Jaclynn Pehota, directrice générale de l'Association des détaillants de cannabis canadiens. « Nous nous félicitons de la liberté de répondre à cette demande et d'offrir à nos clients une expérience d'achat unique. »
Avant de modifier sa réglementation sur le cannabis, le gouvernement a pris en compte les commentaires de l'industrie, la législation fédérale, les objectifs de santé publique et les effets potentiels sur les mineurs, selon le ministère.
Les articles vendus ne peuvent pas :
représenter une personne, un animal ou un personnage réel ou fictif, ou inclure un témoignage ou une approbation ;
attrayant aux mineurs;
Associer le cannabis à un style de vie qui peut consister en glamour, loisirs, excitation, vitalité, risque ou audace.
D'incitation à sources de revenus supplémentaires.
La $anté Économique passe devant la Santé Publique !
Pour la $anté Économique
La légalisation de l'interdiction est pour la $anté Économique/Monétaire, des sources de revenus supplémentaires.
Pour la Santé Publique !
L'interdiction de jusqu'à la représentation d'une image de feuille de cannabis a été imposée en prétendant qu'une image est automatiquement, une, de incitation à l'imitation, sans étude scientifique le prouvant.
Une image de bouteille, de personnes ou personnages qui trinquent n'est pas de l'incitation !
Car 82% des Québécois de 12 ans et plus consomment ce dépresseur psychotrope.
Même de jeunes enfants de 6-12 ans et moins dont le cerveau ne sera complété qu'à 23-25 ans y ont droit !
Si c'était vrai. Avec tous les films contenant des images de, vengeance, horreur, violence, langage adultes, nudité.
Il y aurait beaucoup plus de fusillades, vengeance, horreur, violence, langage adulte, nudité !
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