La campagne « Février sec » de la Société canadienne du cancer exhorte les Canadiens à cesser de boire et à réduire leur risque de cancer

Les gens boivent plus d’alcool qu’avant la pandémie, ce que la Société canadienne du cancer espère changer

Saskatchewan
La campagne « Février sec » de la Société canadienne du cancer exhorte les Canadiens à cesser de boire et à réduire leur risque de cancer

L’augmentation du niveau de stress et la diminution du soutien social poussent les Canadiens à boire
CBC News · Publié : 02 févr. 2021 15 :58 HNE | Dernière mise à jour : 2 février 2021

Les Canadiens boivent davantage depuis le début de la pandémie, selon la Société canadienne du cancer.

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Près d’un an après le début d’une pandémie qui a fait grimper le niveau de stress et fait chuter les systèmes de soutien social, une tendance inquiétante a émergé.

Les gens boivent plus d’alcool qu’avant la pandémie, ce que la Société canadienne du cancer espère changer avec sa campagne annuelle Dry Feb.

La campagne demande aux gens d’arrêter de boire pendant le mois de février. Les participants recueillent des promesses de dons et font don de cet argent à la société pour qu’elle l’utilise dans la recherche sur le cancer.

La porte-parole Elizabeth Holmes a déclaré que les sondages montrent que certains Canadiens boivent plus qu’avant mars 2020. La bonne nouvelle, a-t-elle dit, c’est que beaucoup d’entre eux veulent réduire leurs dépenses ou arrêter complètement.

Dans son message de fin d’année, la Dre Tam met en garde les Canadiens sur leur consommation d’alcool

LA DOSE | Q&R: Le « Dry January » pendant la pandémie est-il une bonne idée ?
Les mauvaises habitudes augmentent chez les étudiants pendant la pandémie, selon une étude de l’Université de la Saskatchewan
« C’est donc une excellente occasion de transformer cette intention en action », a déclaré Holmes.

Si Dry Feb semble trop d’engagement, cette année, la campagne propose une option Dry (ish) Feb qui permet aux gens de réduire leur consommation d’alcool pendant un mois au lieu d’arrêter complètement.

L’une des personnes qui participe à la campagne Dry Feb est Tammy Breen. Elle a lutté contre la consommation d’alcool et de drogues avant d’arrêter il y a trois ans.

Devenir sobre a été bon pour sa santé et ses relations avec ses filles.

« Je leur ai fait beaucoup de mal dans le passé. Je suis juste arrivé au point où je ne veux plus leur faire de mal ou me blesser moi-même », a déclaré Breen. La COVID fait en sorte qu’il est plus difficile de s’appuyer sur ses systèmes de soutien, mais Breen utilise FaceTime, Zoom et les réunions des Alcooliques anonymes pour rester sobre.

« Sachez simplement qu’il y a de l’espoir là-bas », a-t-elle déclaré.

Depuis sa création il y a six ans, Dry Feb a recueilli plus de 2,3 millions de dollars pour la recherche sur le cancer. Selon le site Web de la société, un effet secondaire négligé de la consommation d’alcool est une augmentation de nombreuses formes de cancer, y compris les cancers de la tête, du cou, du sein, de l’estomac et du pancréas.

Sur le même sujet :
Vidéo - Why it’s complicated to be a sober musician | CBC.ca
https://www.cbc.ca/player/play/2305271363656

Pourquoi c’est compliqué d’être un musicien sobre
il y a 16 heures
Actualités
Durée6:14

Dans le but d’amener plus d’artistes à repenser leur relation avec l’alcool,
l’East Coast Music Association a encouragé ses membres à participer à un événement Dry January.
Kayla Hounsell, de CBC, explique pourquoi il est compliqué d’être sobre dans une industrie entourée d’alcool.

Seulement 30 participants sur des milliers de l’East Coast Music Association
ont participé à “Sécher en Janvier” !

Commentaires

Pourquoi c’est compliqué d’être un musicien sobre ?

Pourquoi c’est compliqué d’être un musicien sobre ?

Surtout quand tu chantes des chansons incitation à faire boire, qui font l'apologie de l'alcool malgré ses méfaits...

Aussi parce que pour être sur la même longueur d’onde qu’avec le public
il faut consommer les mêmes produits intoxicants !

Lors des pseudos party de fêtes provinciales/territoriales/nationales
les musiciens et chanteurs “ne sont pas sur la même longueur d’onde”
que le public dont leur caractère est comme leur bière, qui lèvent leurs verres.

Ils ne font que “faker” faire semblant d’avoir du plaisir.
En attendant après leur travail à la télé aseptisé et payé, pour faire l’After Party.
Être sur la même longueur d’onde.

Perso mais plus beaux party ont été avec des musiciens sur la même longueur d’onde !
Que ce soit avec des groupes locaux dans des bars ou des Big Stars dans des grands centres.
J'ai eu bein du fun à Jonquière avec Plume !

Mon beau-frère a arrêté de boire de l’alcool, pendant un temps, parce qu’il perdait le contrôle
et risquait de perdre sa compagne parce qu’il ne pouvait pas s’arrêter après avoir commencé.

Il a continué d’aller voir ses bons mauvais compagnons dans des Bars.
https://youtu.be/nk2rR4rQXps

Après plusieurs visites à sec il a constaté que pour être avec ses amis alcoolos
il fallait être saoul pour endurer toutes les niaiseries promesses d'ivrognes et farces plates
radotées Ad nauseam aussi souvent que les phrases du jour que Legault impose à ses caqueteurs !

Moi qui buvais pour l'effet j’ai arrêté because les lendemains de veilles, la gueule de bois, d'une durée de plus de 24 h
ce que je n’avais pas avec le cannabis des concentrés et d’autres drogues illicites
avec beaucoup moins de visites aux toilettes !;O).

Cela ne m'empêche pas de gouter rarement à des alcool d'exception.

Ronnie Wood des Rolling Stone qui a consommé plusieurs drogues à usages durs et du crack
a dit que c'était avec l'alcool qu'il avait eu le plus de problèmes pour arrêter !

Éric Lapointe affirme que ses meilleures chansons ont été écrites saoul l'influence de l'alcool
et les pires sans alcoolisation !

Si 50 % des buveurs d'alcool cancérigène, addictif, mortel, faisaient l'escalade vers le cannabis.
Il n'y aurait que 2 000 morts annuelles acceptables/évitables au lieu de 4 000
et le cout serait de 1,5 MILLIARD$ en méfaits au lieu des 3 MILLIARD$ annuels,
il y aurait moins de visites aux urgences, moins d'hospitalisations, de violences et comportements antisociaux !

Pour le tabac ce serait 6 500 morts annuelles au lieu de 13 000 évitables/acceptables
et 1,9 MILLIARDS en méfaits annuels au lieu de 3,8 MILLIARD$.

Rappelons que c'est 3,8 MILLIARD$ annuellement pour environ 15 % de consommateurs !

https://www.youtube.com/watch?v=rphfvoQtB1Y

La bière. La bière.
Qu'est-ce qu'elle à fait de moi la bière ?
Qu'est-ce qu'elle à fait de moi?
La bière. La bière.
C'est comme si c'était mon frère.
Nous buvons jusqu'à la dernière,
On se remplit comme des porcs de bière
KRO-NEN-BOURG
Et toujours on r'tourne au fond des chiottes
On se dégueule en chœur sur les bottes.

La bière. La bière.
Qu'est-ce qu'elle à fait de moi la bière ?
La bière. La bière.
C'est comme si c'était mon frère.

A la pression, en boite, en cannette.
On boit, on fait des rots et on pète.
KRO-NEN-BOURG
Ca fait mal à la tête le lendemain
Mais on va remettre ça sans fin.
La bière, la bière,
Qu'est-ce qu'elle à fait de moi la bière.
La bière, la bière.
C'est comme si c'était mon frère.

La bière, moi, ça me rend amoureux.
Amoureux ?
La nuit, ça me réveille la queue
KRO-NEN-BOURG
Mais si jamais j'ai trop abusé,
Y'a rien à faire, elle veut pas bander
La bière, la bière,
Qu'est-ce qu'elle à fait de moi la bière.
La bière, la bière.
C'est comme si c'était mon frère.

Et en buvant mon avant dernière
Avant qu'on ne me rentre dans ma dernière
KRO-NEN-BOURG
Je veux recevoir l'extrême onction.
A grand coup de malt et de houblon.
La bière, la bière,
Qu'est-ce qu'elle à fait de moi la bière.
La bière, la bière.
C'est comme si c'était mon frère."

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