Pfizer dit avoir demandé aux États-Unis l'autorisation du vaccin pour les 5 à 11 ans
L’alliance Pfizer/BioNTech a déclaré s’attendre à pouvoir publier « dès le quatrième trimestre » les résultats des essais pour deux autres tranches d’âge, les 2-5 ans ainsi que 6 mois-2 ans.
AFP
Jeudi, 7 octobre 2021 08:57
MISE À JOUR Jeudi, 7 octobre 2021 11:16
WASHINGTON, États-Unis | Pfizer a annoncé jeudi avoir demandé l’autorisation en urgence de son vaccin anti-Covid aux États-Unis chez les enfants de 5 à 11 ans, une nouvelle étape de la campagne d’immunisation très attendue par de nombreux parents.
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Les premières injections pourraient commencer d’ici quelques semaines, après étude des données par les autorités sanitaires.
« Alors que les nouveaux cas chez les enfants aux États-Unis continuent à être à un haut niveau, cette demande est un pas important dans nos efforts en cours contre la COVID-19 », a tweeté Pfizer, qui a développé son vaccin avec le laboratoire allemand BioNTech.
L’Agence américaine des médicaments, la FDA, avait prévenu qu’une fois la demande de Pfizer formulée, le processus pourrait encore prendre « quelques semaines » jusqu’à ce que les piqûres puissent être effectivement réalisées.
Elle a précisé la semaine dernière avoir programmé une réunion de son comité consultatif pour étudier ces données le 26 octobre. Celui-ci devra rendre son avis avant que l’autorisation ne soit ensuite officiellement accordée.
Les Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), devront ensuite publier les recommandations précises d’utilisation à destination des professionnels de santé administrant les doses.
« Nous sommes prêts, nous avons les approvisionnements », a déclaré jeudi matin sur CNN le coordinateur de la lutte contre la pandémie à la Maison-Blanche, Jeff Zients.
Dosage adapté
L’alliance Pfizer/BioNTech avait déjà soumis fin septembre à la FDA les résultats des essais de son vaccin pour cette tranche d’âge.
Pfizer/BioNTech a conduit ces essais sur plus de 2000 enfants de 5 à 11 ans. Les entreprises ont indiqué que le vaccin était bien toléré, et déclenchait une réponse immunitaire « robuste », « comparable » à celle observée chez les 16 à 25 ans.
Le dosage a été adapté à 10 microgrammes par injection, contre 30 microgrammes pour les groupes plus âgés.
De nombreux parents attendent avec impatience l’autorisation du vaccin pour leurs jeunes enfants, notamment depuis la rentrée scolaire et le retour des cours en personne.
Les plus jeunes présentent moins de risque de développer des cas graves, mais peuvent malgré tout tomber malades et participer à la transmission du virus au sein de la population.
Les autorités sanitaires se concentreront notamment, lors de leur étude des données, sur les risques de myocardite, une inflammation du muscle cardiaque qui s’est révélée plus fréquemment observée chez les jeunes adultes et adolescents après la vaccination.
Le nombre d’enfants participant aux essais cliniques avait ainsi été étendu, à la demande des autorités sanitaires, pour permettre de mieux détecter ces éventuels effets secondaires rares.
Il s’agira de déterminer de quel côté penche la balance entre les bénéfices et les risques de l’administration du vaccin chez ces enfants.
Selon un comptage de l’Académie de pédiatrie américaine, au 30 septembre, environ 5,9 millions d’enfants avaient été testés positifs à la COVID-19 depuis le début de la pandémie.
Et quelques centaines sont décédés, selon les chiffres des Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC).
Pour le moment aux États-Unis, le remède de Pfizer est pleinement autorisé pour les 16 ans et plus, et autorisé en urgence pour les 12-15 ans.
L’alliance Pfizer/BioNTech a déclaré s’attendre à pouvoir publier « dès le quatrième trimestre » les résultats des essais pour deux autres tranches d’âge, les 2-5 ans ainsi que 6 mois-2 ans.
Moderna mène également des essais cliniques de son propre vaccin anti-Covid sur des milliers d’enfants, dont les résultats n’ont pas encore été communiqués
Qui fourni des enfants cobayes de 6 mois à 5 ans à Pfiser ?
Quel parent responsable fourni ses enfants de 6 mois à 5 ans à Pfiser ?
À quel prix ?
Quel parent responsable fournirait ses enfants de (6 mois) 5 à 17 ans
pour la recherche sur le cannabis thérapeutique et/ou récréatif ?
Le cannabis n'a pas à être vapoté/fumé par les jeunes enfants il existe des concentrés/extraits/huiles/comestibles.
(Des chercheurs utilisent aussi des extraits purs en injections ce qu'aucun consommateur ne fait.)
Quel parent responsable fournirait ses enfants de 6-12 ans et moins pour la recherche sur les méfaits de l'alcool sur le cerveau des jeunes enfants, de ce dépresseur légal mortel protégé par la CAQ ?
Rappelons que les médecins/psychiatres/pédiatres du Québec qui ont participé à la criminalisation discriminatoire des adultes de 18-21 ans et de leur sacrifice aux organisations criminelles, n'ont jamais exigé ni fait une seule étude sur des humains double aveugle suivi de tests cognitifs comme en Israël. En 20 ans d'usage de cannabis et extraits/concentrés thérapeutiques légaux. Ils ont préféré les sondages d'opinions peu fiables non scientifiques !
Pour ces experts dépendant$ cannaphobes, qui ont perdu toute crédibilité.
Leur solution à un problème personnel d'addiction, de dépendance avec ou sans substance c'est la criminalisation.
Pour la réduction des méfaits ils sacrifient les adultes de 18-21 ans aux produits des organisations criminelles.
En trois ans de criminalisation de mise en contact avec les nombreux produits dangereux pour la santé physique et mentale combien de 18-21 ans ont essayé de ces nombreux produits contaminés, non réglementés, sans être renseignés sur leur puissance ? Un lien de causalité avec le fléau des surdoses d'opioïdes mortelles accidentelles ?
Les médecins qui ont fait serment "De tout faire pour soulager les souffrances".
Doivent essayer toutes les thérapies et nombreux médicaments même inefficaces avant de prescrire du cannabis.
Effet de ces pervers pro-médoc$ qu'ils prescrivent à pochetée et répétition.
Des enfants ont dû subir l'acharnement pharmaceutiques inefficace pendant des années avant d'avoir droit au cannabis efficace, non remboursé, légalement. Plusieurs parents responsables ont choisi de violer la loi plutôt que de laisser souffrir et mourir leurs enfants !
Les Responsables doivent rendre compte de leur politique et doivent réparer les dommages qu'il ont causés !
Pour les recherches avec, sur des animaux ils trouvent d'abord la dose mortelle.
Puis ils diminuent jusqu'à obtenir un nombre minimal d'effets secondaires indésirables, de morts acceptable.
Pour les effets primaires et secondaires indésirables dangereux pour la santé physique et mentale.
Ils vont essayer de trouver un autre médicament pour contrer les effets primaires et secondaires indésirables.
Et ainsi de suite. Ils chercherons aussi un médicament pour contrer le sevrage de ces médocs.
Ensuite ils vont essayer sur des humains.
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