Élection Fédérale 2021
Je n'ai pas perdu de temps à regarder les résultats. J'ai Sur Demande. J'ai fait ma part ! J'ai voté !
Dans mon coin de l'Arrière Pays des Cantons-Unis. J'avais un candidat du Parti Rhinocéros parmi les choix.
En Beauce ils avaient parmi les choix: Sébastien Tanguay (Parti Marijuana)
Dans Saint-Maurice-Champlain Hugo Beaumont Tremblay, candidat sous la bannière du Parti Marijuana.
“Ce sont d’abord des revendications personnelles qui m'ont motivé à me présenter”.
J'ai reçu 2 courriels d'influence de la CAQ, Conservateur protecteur et pro-alcool, tabac, organisations criminelles, pour me suggérer de voter conservateur.
Il doit croire, cet orgueilleux* vaniteux colérique,
que je fais parti des legotomisés souffrants du syndrome de Stockholm ?
Il utilise les mêmes termes que O'toole !
Reçu aussi un message de Gérard Deltell
pro-criminalisation, re-criminalisation, le prohibitionniste qui s'habille en Johnny Cash
pour partager son virus d'ignorance concernant le cannabis, l'alcool et la géographie (l'Uruguay n'est pas le Paraguay !).
Le bouffon qui a enfoncé le bouchon de la propagande de peur, désinformation, la criminalisation, plus profond !
Deltell qui a affirmé a jeun, dans les médias sans sourciller que, non, l’alcool n’affecte pas le cerveau !
Ses supporteurs prohibitionnistes alcolos ignorants influençables l'ont cru et même réélu en 2021.
A l’émission de 22 minutes ils ont parlé du Parti Marijuana et de ceux qui se présentaient.
« Il faudrait peut-être que quelqu’un leur dise que le cannabis est légal ! »
Au Canada où les provinces ont harmonisé l’âge pour être reconnu légalement comme un adulte, 18-19 ans selon la province avec celui pour le tabac et de l’alcool. Là où les consommateurs ont droit à l’achat, la possession, la consommation, la production personnelle, le droit de pouvoir humer et voir les cannabis, d’avoir droit aux comestibles/concentrés. Ont moins de raisons de se plaindre qu’au Québec protecteur du tabac et alcool légaux aux 18 ans et moins, 6-12 ans et moins dont le cerveau ne sera complété qu’à 23-25 ans pour la consommation d’alcool.
Le Québec considère les adultes de 18 ans consommateurs de cannabis comme des sous-Hommes.
Pas assez intelligents à 18 ans pour décider entre des produits mortels ou non !
(Mais assez intelligents à 18 ans pour demander l'assistance à mourir. A 12 ans pour posséder un permis de chasse et une arme.)
C’est ce qu'ils utilisaient aussi contre les autochtones, les femmes, pour le droit de vote* et la consommation d’alcool.
* ORGUEILLEUX
Il existe une différence entre orgueil et fierté !
Une personne orgueilleuse ne se trompe jamais… Du moins, elle le pense.
Le fait qu’elle puisse faire une erreur ne lui traversera jamais l’esprit.
Comme elle pense savoir mieux que tout le monde, elle n’hésite pas à s’exprimer sur des sujets qu’elle ne connait pas.
Et même quand vous lui prouvez que vous avez raison, elle fait preuve de mauvaise foi et n’admet pas qu’elle a tort.
Aussi, elle se battra toujours pour avoir le dernier mot. (bâillon)
Les orgueilleux méprisent l’opinion des autres.
Ils n’aiment pas écouter les avis différents et pensent avoir les choses les plus importantes à dire.
Par contre il aime utiliser "je vous ai écouté" pour faire croire à une impression de justice.
Les personnes avec de l’orgueil apprécient ce qui les met en valeur, à commencer par les titres grandioses.
Je suis le boss ! Élu avec seulement 37,42 % des suffrages !
Une personne orgueilleuse aime s’entourer de gens “à son niveau”.
C'est pas faux !
D’ailleurs, les orgueilleux aiment noter les faiblesses et les défauts des autres, qu’ils utilisent ensuite pour se moquer d’eux et se mettre en avant.
Ils aiment aussi rappeler leurs erreurs aux autres et se réjouir de leurs échecs.
Un orgueilleux est un illusionniste qui se trompe lui-même.
Il existe un fossé entre sa perception et la réalité. Il se surestime et ne s’en rend pas compte.
Et il applique un double tarif: il juge les autres plus sévèrement que lui-même.
Vivant dans le déni permanent de ses erreurs, il a toujours des bonnes raisons à ses échecs.
Depuis 3 ans: les 51 000 morts par le tabac et l'alcool qu'il protège. Les millions qu'il fourni au marché illicite.
Le manque de médecins de familles.
Il n'a donné que des condoléances mais pas un seul sou aux aînés si précieux.
Et si vous soulignez ses erreurs ou ses défauts,
il le prendra comme une attaque personnelle. Soit il vous ignorera, soit il s’en prendra à vous.
En plus, l’orgueilleux peut se donner le droit de faire des choses qu’il ne tolère pas chez les autres.
Trinquer sans masque ni distanciation avec Ford.
Un orgueilleux croit que sa supériorité en fait un candidat de choix pour diriger les autres.
Comme il aime penser qu’il sait mieux que tout le monde,
il veut que ses consignes/désirs ne soient pas discutées mais surtout appliqués à la lettre.
En revanche, il déteste qu’on lui donne des ordres ou qu’il doive rendre des comptes à un supérieur.
Nous sommes les supérieurs des politiciens !
Les Responsables doivent rendre compte de leur politique et doivent réparer les dommages qu'il ont causés !
* La longue quête des Québécoises pour l’égalité politique
https://www.electionsquebec.qc.ca/francais/provincial/vote/droit-de-vote...
Les adversaires
La quête pour les libertés démocratiques est longue : la route est pavée d’écueils et les adversaires sont nombreux. Le clergé, les politiciens, les journalistes, la majorité des femmes - bref, la société en général ne souscrit pas à l’idée que les Québécoises deviennent des citoyennes à part entière. À cette époque, cela signifierait la fin d’une société fondée sur l’exclusion des femmes. Cette exclusion est confirmée dans le Code civil adopté en 1866, qui confirme également l’incapacité juridique des femmes mariées. En d’autres termes, les femmes n’ont pas les mêmes droits juridiques que les hommes.
Journal des débats
Document de l’Assemblée nationale : Débats sur la Loi accordant aux femmes le droit de vote et d’éligibilité. Source : fonds du directeur général des élections.
Les arguments contre le droit de vote portent essentiellement sur la place des femmes au foyer et sur leur rôle de gardiennes de la race canadienne-française. Les propos suivants traduisent bien les obstacles et les préjugés auxquels sont confrontées les suffragettes :
« L’entrée des femmes dans la politique, même par le seul suffrage, serait pour notre province un malheur. Rien ne le justifie, ni le droit naturel, ni l’intérêt social; les autorités romaines approuvent nos vues qui sont celles de tout notre épiscopat. » (Cardinal Bégin; source : Cap-aux-Diamants, no 21, printemps 1990, p. 23.)
« Advenant l’adoption de ce bill, la femme ressemblerait à un astre sorti de son orbite. » (L.-A. Giroux, conseiller législatif [Wellington]; extrait des débats du 25 avril 1940 à l’Assemblée législative.)
« […] les Canadiennes françaises risquent de devenir des femmes publiques […] de véritables femmes-hommes, des hybrides qui détruiraient la femme-mère et la femme-femme ». (Henri Bourassa, fondateur du quotidien Le Devoir; source : Cap-aux-Diamants, no 21, printemps 1990, p. 20.)
Au palier municipal, les femmes obtiennent progressivement le droit de vote entre 1968 et 1974, selon les villes et les municipalités.
Les femmes autochtones qui vivent sur les réserves ont le droit de vote au Québec depuis 1969.
Ajouter un commentaire