Discrimination Systémique !
Effet des pervers de la criminalisation discrimination envers les consommateurs de produits intoxicants !
Dû à une "évocation possible" de sevrage aux narcotiques et au cannabis sans qu’une réelle consommation précédant l’épisode puisse être démontrée.
Un simple test sanguin aurait suffit pour démontrer ce qu'elle avait possiblement consommé ou non !
Pour le sevrage ou des surdoses ils ont plein des produits de pharmaceutiques comme la nalaxone* !
Le sevrage des opiacés peuvent être traités avec un opiacé à longue durée d'action*.
Plusieurs produits de pharmaceutiques peuvent mettre fin à un effet de panique, surdose et sevrage de cannabis !
On évoque un possible sevrage aux narcotiques et au cannabis sans qu’une réelle consommation précédant l’épisode puisse être démontrée. Dans le but de préciser s’il y a effectivement un possible trouble lié à la consommation ou à un sevrage, une requête en consultation est envoyée au Centre de réadaptation en dépendance de Joliette.
Or, cette évaluation, telle que rapportée au médecin le 28 septembre 2020, conclut que les symptômes décrits par Mme Echaquan sont sans lien avec un sevrage physique d’opioïdes ou de stimulants.
Pourtant, Mme Echaquan sera rapidement étiquetée comme une patiente en servage.
Sur la base de ce préjugé, il en découle que ses appels à l’aide ne seront pas considérés avec sérieux.
Cette étiquette la suivra tout au long de son séjour et guidera les actions du personnel soignant jusqu’à son décès.
La preuve entendue en cours d’audience a par ailleurs démontré que Mme Echaquan ne consommait que les narcotiques dûment prescrits et dont la quantité est insuffisante pour créer une dépendance.
* La naloxone est un antidote spécifique aux opioïdes. Elle renverse temporairement les effets d'une surdose d'opioïdes. La naloxone est sécuritaire et ne pose pas de danger pour la santé de la personne intoxiquée ni pour la santé d'une personne qui n'est pas intoxiquée aux opioïdes.28 févr. 2020
* Le sevrage peut être traité par substitution avec un opiacé à longue durée d'action (p. ex., la méthadone) ou de la buprénorphine (un opiacé mixte agoniste-antagoniste).
https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/opioides/apropos-loi-bons...
La Loi sur les bons samaritains secourant les victimes de surdose s’applique à quiconque demande de l’aide d’urgence dans le cas d’un surdosage, y compris la personne en situation de surdosage. La Loi protège la personne qui demande de l’aide peu importe si elle reste ou si elle quitte la scène de surdosage avant l’arrivée de l’aide. La Loi protège également quiconque demeure sur les lieux lorsque l’aide arrive.
Discrimination Systémique !
Effet des pervers de la criminalisation discrimination envers les consommateurs de produits intoxicants !
Dû à une "évocation possible" de sevrage aux narcotiques et au cannabis sans qu’une réelle consommation précédant l’épisode puisse être démontrée.
Un simple test sanguin aurait suffit pour démontrer ce qu'elle avait possiblement consommé ou non !
Pour le sevrage ou des surdoses ils ont plein des produits de pharmaceutiques comme la nalaxone* !
Le sevrage des opiacés peuvent être traités avec un opiacé à longue durée d'action*.
Plusieurs produits de pharmaceutiques peuvent mettre fin à un effet de panique, surdose et sevrage de cannabis !
On évoque un possible sevrage aux narcotiques et au cannabis sans qu’une réelle consommation précédant l’épisode puisse être démontrée. Dans le but de préciser s’il y a effectivement un possible trouble lié à la consommation ou à un sevrage, une requête en consultation est envoyée au Centre de réadaptation en dépendance de Joliette.
Or, cette évaluation, telle que rapportée au médecin le 28 septembre 2020, conclut que les symptômes décrits par Mme Echaquan sont sans lien avec un sevrage physique d’opioïdes ou de stimulants.
Pourtant, Mme Echaquan sera rapidement étiquetée comme une patiente en servage.
Sur la base de ce préjugé, il en découle que ses appels à l’aide ne seront pas considérés avec sérieux.
Cette étiquette la suivra tout au long de son séjour et guidera les actions du personnel soignant jusqu’à son décès.
La preuve entendue en cours d’audience a par ailleurs démontré que Mme Echaquan ne consommait que les narcotiques dûment prescrits et dont la quantité est insuffisante pour créer une dépendance.
* La naloxone est un antidote spécifique aux opioïdes. Elle renverse temporairement les effets d'une surdose d'opioïdes. La naloxone est sécuritaire et ne pose pas de danger pour la santé de la personne intoxiquée ni pour la santé d'une personne qui n'est pas intoxiquée aux opioïdes.28 févr. 2020
* Le sevrage peut être traité par substitution avec un opiacé à longue durée d'action (p. ex., la méthadone) ou de la buprénorphine (un opiacé mixte agoniste-antagoniste).
https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/opioides/apropos-loi-bons...
La Loi sur les bons samaritains secourant les victimes de surdose s’applique à quiconque demande de l’aide d’urgence dans le cas d’un surdosage, y compris la personne en situation de surdosage. La Loi protège la personne qui demande de l’aide peu importe si elle reste ou si elle quitte la scène de surdosage avant l’arrivée de l’aide. La Loi protège également quiconque demeure sur les lieux lorsque l’aide arrive.