"Les grands brasseurs croient que les marges opérationnelles des microbrasseries sont sans intérêt. Molson Coors, par exemple, affiche une marge de 12,5 %, alors que celles des microbrasseries oscillent, en général, entre 2 et 5 %. Du coup, ils ne voient pas que de tout nouveaux modèles d'affaires sont en train de voir le jour, susceptibles de les supplanter dans un avenir rapproché."
Les profiteurs qui sont au sein des producteurs autorisés ne sont pas de compétition avec un marché ouvert et la seule porte de salut pour eux c'Est que la prohibition les protège coûte que coûte... et voilà pourquoi les projets de loi dévoilés sous le nom de légalisation n'est rien d'autre qu'un renouvellement de la prohibition avec une augmentation des sanctions au Code criminel ainsi qu'un nouveau de régime de sanctions plus efficaces pour faciliter l'application et protéger ce marché des autres joueurs et non des jeunes...
D'ailleurs, depuis 1961 TOUS les premiers ministres ont utilisé les arguments de Trudeau (protéger les jeunes et s'attaquer au crime organisé) afin de justifier la prohibition, voire augmenter les peines (Harper 2012).
"Les grands brasseurs croient que les marges opérationnelles des microbrasseries sont sans intérêt. Molson Coors, par exemple, affiche une marge de 12,5 %, alors que celles des microbrasseries oscillent, en général, entre 2 et 5 %. Du coup, ils ne voient pas que de tout nouveaux modèles d'affaires sont en train de voir le jour, susceptibles de les supplanter dans un avenir rapproché."
Les profiteurs qui sont au sein des producteurs autorisés ne sont pas de compétition avec un marché ouvert et la seule porte de salut pour eux c'Est que la prohibition les protège coûte que coûte... et voilà pourquoi les projets de loi dévoilés sous le nom de légalisation n'est rien d'autre qu'un renouvellement de la prohibition avec une augmentation des sanctions au Code criminel ainsi qu'un nouveau de régime de sanctions plus efficaces pour faciliter l'application et protéger ce marché des autres joueurs et non des jeunes...
D'ailleurs, depuis 1961 TOUS les premiers ministres ont utilisé les arguments de Trudeau (protéger les jeunes et s'attaquer au crime organisé) afin de justifier la prohibition, voire augmenter les peines (Harper 2012).
Exigeons plus pas moins, la déprohibition !